Interface vitréomaculaire : Série de cas d’adhérence et de traction
DOI :
https://doi.org/10.15353/cjo.v83i4.4670Mots-clés :
Tomographie par cohérence optique, adhérence vitréomaculaire, traction vitréomaculaire, membrane épirétinienne, trou maculaire, rétineRésumé
L’interface vitréomaculaire a toujours été difficile à évaluer sur le plan clinique. Cependant, avec l’avènement de la tomographie par cohérence optique, les pathologies à cette interface sont plus faciles à diagnostiquer et à surveiller. Les attaches de l’interface vitréomaculaire sont diverses, allant de l’adhérence sans changement de la structure fovéale, comme l’adhérence vitréomaculaire, aux tractions entraînant un changement de structure, comme la traction vitréomaculaire. Bon nombre de ces pathologies peuvent être observées et prises en charge par un optométriste sans consulter un spécialiste de la rétine. Cet article décrit trois cas de pathologie vitréomaculaire accompagnés d’un examen du système de classement, de présentations qui ont été associées à une incidence plus élevée de libération spontanée et d’options de traitement.
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© Jeffery T Curry, Michael Wingard 2021
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